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 nantes

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08982

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MessageSujet: nantes   nantes EmptySam 14 Mai à 16:06

Résumé du concert de Nantes, par Gwennnaelle, source johnfans.net

Agée de 23 ans, je suis assistante de direction à La Baule-Les-Pins.

Je vais tenter, tant bien que mal, de vous résumer le concert auquel j’ai eu l’opportunité d’assister hier soir (désolée mais il est assez long).

Nina nous avait dit « Arrivez à 15 H et vous serez bien placés ». C’était, sans compter que ce jeudi 5 mai était le jeudi de l’Ascension et que le Parc des Expositions était quasiment complet.
Nous avons, donc, décidé de venir déjeuner sur Nantes mais par mesure de précaution, nous avons fait un tour devant le Parc des Expositions avant de nous rendre au restaurant. Bien, nous en a pris : plus d’une cinquantaine de personnes étaient déjà présentes et certaines depuis 9 H et vu le nombre de personnes qui affluaient, nous décidons d’un changement de programme. Rapide coup au Mac Do tout près du Parc des Expositions et retour sur place.

Beaucoup de jeunes (après, nous avons eu connaissance de leur âge : de 18 à 23 ans) et tous pro-Greg. On commence à comprendre que les membres du site officiel de Grég ont décidé de venir tôt le matin afin d’être bien placé. Il faut les comprendre aussi : absence de gradins sur le côté gauche et une fosse immense ; autant dire que pour bien voir, il fallait être tout près de la scène. L’ambiance n’est pas géniale : même entre fans du même site, beaucoup se réfugient derrière leurs baladeurs.

On approche des 13 H et on commence à se dire que l’attente risque d’être longue. Mais vers 13H30, le service de sécurité ouvre les portes pour faire rentrer les personnes présentes et les répartir sur 2 puis, par la suite, sur 3 rangées. Le fait d’être entrés rend les personnes plus affables et ainsi apprendrons-nous que la saison précédente, le public s’était rué sur le route de quelques mètres séparant l’ouverture centrale de la salle de spectacle à proprement parler et que des incidents avaient été à déplorer.

Toutefois vers 17H30, le public scande « On veut entrer » (c’est vrai qu’il commence vraiment à faire un peu frisquet !). Sans soute, « pour calmer le jeu », un garde du corps sort accompagné de Greg. Quelle erreur ! Non seulement, cela provoque des bousculades mais devant la demande, Greg ne restera que 5 minutes. Fort heureusement, les fans de Greg s’échangent leurs numéros de téléphone respectifs pour se communiquer les photocopies de l’autographe de Greg ou les photos qu’ils ont pu prendre.

Ouverture théorique des portes : 18 H. Rien. 18H15 : réunion des membres de la sécurité. Ca ne sent pas bon cela. Résultat : fouille au corps (interdite, on le rappelle). Et ils n’y vont pas de main morte : bouteilles d’eau confisquées, ….. La fille de la sécurité nous pique le sac de Mac Do (on se demande encore pourquoi) mais pour nous, pas de fouille. C’est à n’y rien comprendre. Bon arrivée dans la salle au 1er rang, plein centre, que demander de plus ?

19H25 : le public scande à tout va « Grégory » ; du coup, début des pubs et des meilleurs moments du « château » à 19H54. Après 30 minutes de musiques variées et diverses qui ne mettent pas du tout l’ambiance, débute, enfin, le concert.

Le tableau d’ouverture est vraiment bien fait : Sofiane et Hoda sont irréprochables, Lucie tout sourire et John dégage une telle classe, une telle présence dans ce tableau que c’est tout simplement fabuleux. Si vous rajoutez qu’il trouve le luxe de faire un salto avant histoire de se mettre en jambes, vous avez le tableau complet.

Viens, ensuite, « Ecris l’histoire », sous les cris hystériques des fans ce qui fait que l’on entend rien du tout et que Greg est carrément obligé de crier à la fin pour que l’on comprenne quelques paroles. La mise en scène du rideau n’apporte rien à la prestation de Greg et niveau présence scénique, si Greg a gommé quelques tics (style « regard caméra »), il a encore du travail à accomplir.

Hoda enchaîne avec « It’s raining men ». Ce tableau est spectaculaire mais il y gagnerait en simplicité et Hoda y gagnerait en confiance : on la sent, parfois, fébrile sur certains portés. Par contre, niveau vocal et niveau énergie : cette fille en veut, cela se voit et cela se ressent.

Sur « Tous les cris, les Sos », nous avons 3 versions différentes pour un trio : c’est un peu délicat ! Radia est impliquée et sa voix est puissante : c’est ELLE qui arrive à faire que cette prestation ne soit qu’un demi-échec. Elle est habitée d’un regard qui contraste singulièrement avec celui de Greg : le sien exprime la rage, la volonté ; celui de Greg : le désespoir ; quant à Sofiane : il est absent.

A peine cette prestation est-elle achevée que l’on enchaîne directement sur « I love Rock and Roll » (le contraste !). Sandy se débrouille bien sur sa partie solo bien qu’à la fin, on la sent limite à bout de souffle. L’arrivée de John par les airs est surprenante, sa voix est puissante et il arrive, malgré des problèmes de micro-casque mal fixé, à gérer la situation. Son passage avec Sandy sur la chaise est excellent.

Arrive, enfin, le moment tant attendu des petits et des grands : « Laissez-moi danser » : sachant à quel point cela doit les « gonfler » d’interpréter cet hymne repris par le public, on leur pardonnera aisément de prendre quelques libertés vis-à-vis de la chorée originale (faites coucou à vos fans avec un grand sourire, il seront comblés).

Il m’est difficile de commenter « Les moulins de mon cœur » : c’est lent, il n’y a aucune alchimie entre Lucie et Greg. Pour un spectacle qui se veut sans temps mort, en voilà un beau de temps mort !

Et maintenant, place à la pire des prestations de la soirée ; à savoir « Face à la mer » : c’est une caricature de la version originale. Mathieu est présent mais on ne sait pour quelle raison exactement et Harlem, on ne comprend pas le moindre mot de ce qu’il dit.

Radia et Hoda sur « Quand on arrive en ville », tant par leur prestation vocale que scénique se surpassent malgré une mise en scène quelque peu étrange pour ce type de titre.

Sur « En chantant » : mon commentaire sera à l’identique que sur « Laissez-moi danser ».

Arrive ensuite le medley « bonbon rose ». On se demande ce que vient faire un tel medley au sein de cette programmation musicale, mais bon….. cela permet aux deux artistes suivants d’aller se préparer pour ce qui reste, le MOMENT du spectacle ; à savoir l’ « Envie ».

Dès leurs entrées respectives, on sent John et Hoda complètement investis dans cette prestation, leurs regards sont lourds, profonds. Je vais, surtout, m’attarder sur la prestation de John (non que celle d’Hoda laisse à désirer) mais vu la mise en scène, il est très difficile de suivre les deux en même temps. On sent qu’il vit cette prestation, que tous les mots qu’ils prononcent, à cet instant précis, ont un sens, pour lui. Il ressent cette chanson et en ressentant celle-ci, il parvient à nous transmettre son propre message et un artiste qui si je ne me trompe pas, est capable de dégager une telle intensité et une telle énergie, à 19 ans, possède déjà bien des fondements artistiques.

Alors là, chapeau, la transition : à peine la dernière note de l’ « Envie » est-elle terminée que l’on enchaîne direct sur « Yeah » : Sofiane est dans son registre, il n’y a pas à dire.
Quant à Harlem, je me contenterais de lui signifier que le rap, on aime ou on n’aime pas mais c’est avant tout une culture musicale à part entière que l’on se doit de respecter et de ne pas le singer sous tout prétexte falaçieux.

Que dire de la prestation de « No limit » : les artistes ont pris le parti de s’en amuser, respectons leur décision, surtout qu’à la base, c’était, avant tout, une « private joke ».

Viens, ensuite, l’intermède Hoda – John : bien sûr qu’il faut qu’il en profite, tous les deux : c’est le seul instant où ils peuvent, enfin, recevoir l’échange du public car il leur est impossible (comme les 7 autres) d’être ovationné à la fin de leurs prestations tant les transitions sont rapides. Alors, John, laisse le public t’acclamer et enchaîne seulement après.

Quand Lucie veut dire « Stop », elle le peut et son interprétation, malgré ses 18 ans, peut être intense mais elle pourrait être davantage mise en valeur par une mise en scène plus adéquate aux paroles et par un meilleur éclairage.

Pas de télésiège (on me l’apprendra plus tard) pour « Le tourbillon de ma vie ». On voit une Radia taquine, interprétant son rôle à la perfection face à un Mathieu qui ne peut se réfugier derrière une mise en scène et qui nous montre qu’en 10 ans de carrière, il a accumulé bien des automatismes. Mathieu fait du Mathieu JOHANN.

Un nouveau changement radical avec « Seven Nations Army ». On peut dire que sur cette prestation, John porte ses deux camarades durant le temps de celle-ci. Non que Lucie ou Sandy déméritent (bien qu’elles interviennent peu) mais ce soir John était réellement à fond sur toute cette prestation. Que ce soit au niveau vocal ou au niveau chorégraphique, il était en forme.

L’intermède Sandy – Lucie nous amène plus sereinement vers le medley Raï.
Sur « au café des délices » : Mathieu fait du Mathieu.
Sur « Ya Rahah » : Radia est parfaite
Sur « Aïcha » : les cris du public ne m’ont pas permis d’entendre Sofiane mais sa prestation scénique est loin d’être parfaite. On ne sent pas, chez lui, l’urgence de retenir à tout prix la femme de sa vie (message que véhicule ce titre).
« Tellement je t’aime » : très fouillis, ce titre n’apporte pas grand-chose à ce medley si ce n’est la réunion des trois protagonistes mais vraiment pas top.

L’intermède Rap Lyrique permet une nouvelle fois à Radia de nous montrer l’étendue de ses capacités vocales et c’est assez surprenant. Harlem est relégué au second plan mais celui-ci aura la possibilité d’être mis en valeur dès le numéro suivant qui est « Men in Black ».

Bizarrement sur cette prestation, on sent Hoda désabusée (la fatigue ?), ses gestes sont mécaniques et on ne ressent, chez elle, aucun plaisir à effectuer cette prestation.
Harlem maîtrisera sa partie rap dans une position des plus délicates : les pieds suspendus au plafond : ce qui prouve que quand il veut, il peut !

Arrive alors la soi-disant « fin » (autre titre « phare » de la SA4) avec « Adieu Monsieur Le Professeur » où les artistes laissent libre court à leurs facéties mais le titre s’y prêtant ainsi que le mise en scène, cela ne choque pas.

On pourrait s’attendre à ce que le rappel pour un ultime titre soit un peu longuet, il n’en est rien. Certes, il s’écoule un peu plus de temps qu’entre les différentes prestations mais le public a, à peine, le temps de faire sa demande qu’une dizaine de projecteurs rouges vifs se rallument et que Greg entame « Show must go on ».

Son interprétation vocale manque singulièrement de contraste, le tout étant essentiellement interprété en force ; quant à l’interprétation scénique, elle est quasi identique à la première à l’exception d’un beau moment de complicité échangé avec l’un des bassistes.

Tous les artistes reviennent pour partager avec le public « Au bout de mes rêves » avant de s’éclipser après 2H de show non-stop.

Je pense, sincèrement, que les neuf artistes garderont un bon souvenir de leur passage à Nantes. Le public était très réceptif et si une grande majorité du public s’était, vraisemblablement, déplacé pour voir Greg, celui-ci a su apprécier chaque prestation à sa juste valeur.
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